Perfect Days
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| © MASTER MIND Ltd |
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Pourquoi pas voir Perfect Days ?
Le cinéma n'est pas uniquement synonyme de grand spectacle, parfois la simplicité est plus marquante que n'importe quelle explosion, Perfect Days fait partie de ceux là, un film d'une beauté folle à travers une ville qui l'est tout autant.
Cinéaste allemand qui est l'un des représentants majeurs du nouveau cinéma allemand des années 1960 à 1970, Wilhelm Wenders est notamment connu pour Paris, Texas (1984), Les Ailes du désir (1987) et Si loin, si proche ! (1993).
Après six ans d'absence, Wilhelm Wenders reviens avec Perfect Days, un film qui suit le quotidien de Hirayama, un homme qui travaille à l’entretien des toilettes publiques de Tokyo, passionné par beaucoup de choses, notamment la musique et la lecture, Hirayama a une vie très structurée, une vie qui va être bouleversée au gré de rencontre.
Le cinéma n'est pas uniquement synonyme de grand spectacle, parfois la simplicité est plus marquante que n'importe quelle explosion, Perfect Days fait partie de ceux là, un film d'une beauté folle à travers une ville qui l'est tout autant.
Cinéaste allemand qui est l'un des représentants majeurs du nouveau cinéma allemand des années 1960 à 1970, Wilhelm Wenders est notamment connu pour Paris, Texas (1984), Les Ailes du désir (1987) et Si loin, si proche ! (1993).
Après six ans d'absence, Wilhelm Wenders reviens avec Perfect Days, un film qui suit le quotidien de Hirayama, un homme qui travaille à l’entretien des toilettes publiques de Tokyo, passionné par beaucoup de choses, notamment la musique et la lecture, Hirayama a une vie très structurée, une vie qui va être bouleversée au gré de rencontre.
Avant d'être un long métrage, cette histoire aurait dû être un documentaire, Wilhelm Wenders avait été contacté par des membres de la ville de Tokyo afin de réaliser un documentaire sur les toilettes qui avaient été construites pour les Jeux Olympiques d'été prévu en 2020, la pandémie de COVID-19 retardant les Jeux, les concepteurs voulaient continuer à faire connaître les toilettes à l'échelle internationale, le cinéaste a préféré en faire une fiction.
Présenté en compétition officielle au festival de Cannes, Perfect Days nous montre les journées routinières d'un homme simple qui profite de chaque instant, le bonheur se trouve dans des choses qui paraissent insignifiantes, Wilhelm Wenders veut faire comprendre aux spectateurs que dans une époque où tout va vite, il faut prendre le temps d'apprécier les petites choses de la vie.
Pour incarner le personnage de Hirayama, le cinéaste a choisi Kōji Yakusho, acteur japonais qui a notamment joué dans Cure de Kiyoshi Kurosawa, 13 Assassins de Takashi Miike et The Third Murder de Hirokazu Kore-eda, l'acteur est de toutes les scènes et livre une performance subtile et délicate, Kōji Yakusho a d'ailleurs reçu le prix d’interprétation masculine au festival de Cannes.
Perfect Days aurait pu être un film monotone comme la vie du personnage principal mais il n'en est rien, Wim Wenders film la vie de son personnage avec une poésie rarement égalée, rarement la routine n'a été si captivante et magnifique.
La photographie signée par Franz Lustig (Land of Plenty, Don't Come Knocking), renforce le côté poétique et contemplatif du film, les jeux de lumière et les paysages tokyoite apportent un réel plus comme la musique des années 60/70.
Perfect Days est la preuve que lenteur et monotonie ne riment pas forcément avec ennui, il suffit juste que toutes les planètes soient alignées pour livrer une œuvre poétique sur les petits riens de la vie.
Pour incarner le personnage de Hirayama, le cinéaste a choisi Kōji Yakusho, acteur japonais qui a notamment joué dans Cure de Kiyoshi Kurosawa, 13 Assassins de Takashi Miike et The Third Murder de Hirokazu Kore-eda, l'acteur est de toutes les scènes et livre une performance subtile et délicate, Kōji Yakusho a d'ailleurs reçu le prix d’interprétation masculine au festival de Cannes.
Perfect Days aurait pu être un film monotone comme la vie du personnage principal mais il n'en est rien, Wim Wenders film la vie de son personnage avec une poésie rarement égalée, rarement la routine n'a été si captivante et magnifique.
La photographie signée par Franz Lustig (Land of Plenty, Don't Come Knocking), renforce le côté poétique et contemplatif du film, les jeux de lumière et les paysages tokyoite apportent un réel plus comme la musique des années 60/70.
Perfect Days est la preuve que lenteur et monotonie ne riment pas forcément avec ennui, il suffit juste que toutes les planètes soient alignées pour livrer une œuvre poétique sur les petits riens de la vie.
Une œuvre poétique
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Synopsis :
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